21.3.10

C’était comme soulever doucement la mince chose séparant les croyances de la vérité. Un homme, en allant sous la couette d’une femme qui n’est pas la sienne, détruit quelque chose qui est interne à lui. Chose qui l’obsèdera ensuite, ou non. Elle travaillait avec les qui s’en veulent. Avec ceux qui en viennent à fixer le rebord de leur tasse pendant de longues minutes avant de parvenir à ingurgiter le thé qui marine à l’intérieur.

6 commentaires:

  1. Cet article me laisse perplexe, il y a comme quelque chose de douloureux qui est sous-jacent...

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  2. Non non! Je jure que non :)
    c'est juste de l'écriture, de l'écriture de tête.
    J'ai jamais eu un homme qui est allé sous une autre couette.

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  3. j'aime ta façon d'écrire!!
    xoxo
    lamia

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  4. Monologues...: d'accord avec toi. ça sent la baleine sous cailloux, pour ne pas dire anguille sous roche ^-^

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  5. Qu'il soit inventé de toute pièce ou relaté comme on parle d'une amie plutot que de parler de soi, je le trouve très bien écrit pour sa petite taille. Moi il me faut des litres et des litres de phrases pour (enfin, peut etre) réussir a faire transpirer quelquechose de vrai. Toi tu y parviens en 5 lignes ! C'est beau !

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