Ça c'est un trop plein d'amour pour des chaussures.
Pourtant je suis pas du genre à me frotter à des ours. Je me demande encore quel sorte d'animal m'a dévoré la botte. J'ai découvert le cratère un matin, sans même avoir entendu le moindre craquement. Je les portais quand même. Jusqu'à manger le talon, un peu beaucoup. Elle a tellement enduré de choses que je trouve ça dommage de baisser les bras (l'autre est miraculeusement impeccable). Et en même temps, je connais des gens qui ont trouvé ça tellement dommage de baisser les bras qu'ils marchent avec la chaussette qui touche le bitume. Alors faut voir.
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Ah oui... Quand même. La pauvre botte.
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