Je n'ai pas réussi à aller jusqu'à la fin de l'histoire de Richard O. Le sexe ne m'a pas dérangé, je crois que bizarrement, c'est plutôt le fait qu'il ne change jamais de tee-shirt pendant tout le film. À chaque scène je m'imaginais son odeur, j'avais envie de le mettre dans une machine à laver en entier. Au lieu de ça j'ai éteins et je me suis cuisinée de la dinde avec cette nouvelle sauce choisie au hasard au rayon des produits étrangers.
J'en ai plusieurs dans mon frigo, dont je ne comprends pas l'emballage. Je sais seulement que quand il y a des petits piments colorés c'est que ça va piquer. C'est un dimanche sans mouvements, je reste les jambes à l'horizontale, j'ai envie de sortir boire un café dans un lieu que je ne connais pas. Peut-être qu'au moment où je déciderai de bouger je ne rendrai compte que je n'en ai plus envie. Parfois ça fait ça.
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Je trouve ton illustration assez incroyable. Quand on clique pour l'avoir en plus grand, tous les petits détails qu'il y a, c'est très agréable de regarder attentivement pour n'en louper aucun ...
RépondreSupprimerC'est gentil !
RépondreSupprimerJe suis bien d'accord, c'est très agréable de le regarder dans les moindres détails, j'aime beaucoup toutes ces échelles perchées sur les toits et la manière dont tu dessines les tuiles me rappellent mes dessins d'enfant (souvenirs toujours très doux). Et puis 'avoue que je m'imagine bien à la place du monsieur qui lit tranquille dans son jardin. Je l'aime vraiment bien ton illustration.
RépondreSupprimerJe crois que ce que j'aime le plus dans tes dessins ce sont les taches rondes des ombres, ou de l'herbe, qui sont fait avec des petits traits minutieusement collés les uns aux autres.
RépondreSupprimerOui moi aussi j'aime beaucoup. Même si ton travail est très inspiré de Becca Stadtlander, je trouve qu'au fil du temps, tu arrives sans cesse à faire évoluer ton style et renouveler tes créations. ;)
RépondreSupprimerMoi je ne trouve pas que mon travail soit inspiré de Becca Stadlander, elle ne dessine jamais n'importe quoi, elle dessine ce qui existe, dans les plus fins détails, sans naïveté. Et c'est sublime. Mais je ne crois pas que ce soit ce que je dessine.
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